Je t’attendais.
C’est toi que j’attendais. Il était temps que tu arrives. Tu t’es longtemps fait attendre, mais, enfin, maintenant, tu es là. Tu m’as sauvée de l’obscurité et aujourd’hui tu es là, avec moi, à faire de ma vie une succession de bonheurs et de rires.
Tu es ce qu’il me fallait. Tu es celui dont j’ai toujours rêvé. Tu es celui dont j’avais besoin. Et aujourd’hui, alors que je repense à ces dernières semaines à tes côtés, je comprends que je veux que rien ne change. Je voudrais que tu m’offres plus de vie que la vie elle-même, et ce jusqu’à l’infini.
Je ne te promets pas que je serai parfaite, ni que nous serons parfaits, ni des jours parfaits. Je vais t’énerver, être chiante, jalouse parfois, et rire, puis pleurer la minute suivante. Je vais vouloir faire ma petite loi, et tu t’énerveras, et je bouderai jusqu’à ce que tu me prennes dans tes bras en disant que tu m’aimes jusqu’à la fin des temps. Il y aura des jours où tu auras envie de m’envoyer balader parce que j’ai vraiment un sale caractère, et puis je reviendrai, en fronçant mes sourcils, de honte, parce que je serai désolée et que je voudrai me faire pardonner. Je me blottirai contre toi, même si je sais que tu seras encore plein de rancœur, et je te dirai que je suis un gros boulet, que j’ai pas fait attention à mes mots et que je t’aime plus que tout au monde.
Non, je ne te promets pas d’être parfaite. Mais je te promets une seule chose : que je vais t’aimer tous les jours un peu plus, avec mes qualités et mes défauts. Je te promets que nous serons heureux, tous les deux – oui, parce que c’est toi que j’attendais… c’est toi -. Rien que tous les deux. Enfin… toi, moi …et le chat.