Vous avez choisi de faire baptiser votre enfant (bébé ou plus grand) à l’Eglise ? Le baptême religieux est une cérémonie sacrée importante, c’est d’ailleurs le seul sacrement commun à tous les chrétiens. Et pour cette grande occasion, vous êtes à la recherche de textes à lire lors de la cérémonie. Selon l’église, le prêtre et vos croyances, vous pouvez choisir différents types de textes : bibliques, religieux, mais aussi des poèmes ou des extraits littéraires. L’officiant, le parrain et la marraine, les parents peuvent, selon les possibilités et les goûts de chacun, lire un texte choisi par la famille en accord avec l’église. Pour vous aider à trouver le texte parfait pour le baptême de votre enfant, voici 25 jolis textes pour un baptême religieux. Ils résonneront du plus bel effet dans l’église le jour du baptême.
Qu’est-ce que le baptême religieux ?
Le baptême est donc le seul sacrement commun à tous les mouvements et rites chrétiens, mais sa symbolique et sa pratique diffèrent en fonction des courants. Ainsi, il peut à la fois signifier l’entrée dans la vie chrétienne et la rémission des péchés. Il trouve ses origines dans les Évangiles, avec le baptême du Christ par Jean le Baptiste.
Le baptême catholique calque sa pratique sur la vie du Christ et se pratique principalement par effusion. On a tous en tête l’image du bébé qui reçoit de l’eau sur le front. C’est un choix des parents qui signifie que leur bébé est entré dans la communauté chrétienne.
Mais plusieurs mouvements évangéliques et protestants voient dans le baptême un témoignage volontaire, et donc une pratique qui se fait plus tard, une fois l’enfant plus grand et jusqu’à l’âge adulte. Chez eux, la mention de « bonne conscience » indique que le futur baptisé doit être conscient de son engagement. Alors que chez les catholiques, cette conscience est assumée par les parrain et marraine, qui parlent au nom de leur filleul(e).
Comment se déroule un baptême ?
Chez les catholiques, l’enfant est tenu dans les bras du ou de ses parents et le prêtre commence par tracer une croix sur le front du bébé. Puis il récite la profession de foi au futur baptisé et lui verse ensuite par trois fois de l’eau sur le front, en récitant : « Je te baptise au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. Amen ». Le prêtre appose pour terminer de l’huile sainte sur le front. L’enfant est alors considéré comme un enfant de Dieu.
Dans la religion catholique, le baptême de l’eau se fait par effusion, c’est à dire que l’on verse de l’eau sur le front du baptisé. Dans d’autres courants, il peut se faire par aspersion (on asperge le baptisé d’eau) ou par immersion, notamment dans de nombreux rites orthodoxes ou protestants. Pour être baptisé, il faut alors plonger entièrement son corps dans l’eau et en ressortir.
Durant la cérémonie, l’officiant récite plusieurs prières et il est demandé aux parents ainsi qu’aux parrain et marraine de lire un ou plusieurs textes. Il peut s’agir de textes personnels ou de passages de l’évangile.
Pourquoi se faire baptiser ?
Le baptême est le premier engagement pris par celles et ceux qui souhaitent suivre la voie de Dieu. Sans le baptême, il n’est pas possible de pouvoir accéder à certains rites religieux. C’est le cas notamment du mariage à l’église pour lequel il est exigé qu’au moins un des deux mariés ait été baptisé.
Comment organiser un baptême religieux ?
Il faut d’abord contacter le prêtre de la paroisse de résidence. C’est lui qui aide les parents à organiser tout ce qui concerne la célébration religieuse. Il faut lui fournir le livret de famille avec l’acte de naissance de l’enfant. Il conseillera aux parents de trouver un verset ou deux de la Bible qu’ils souhaitent lire. Mais ils peuvent choisir de jolis textes pour un baptême religieux de leur choix, pour leur fils ou leur fille.
Parallèlement, il faut choisir un parrain et une marraine pour son enfant parmi les proches, famille ou amis. Le prêtre doit avoir leurs identités avant le jour du baptême.
Souvent, une réception familiale et/ou amicale suit la cérémonie. Cela implique d’envoyer un carton d’invitation aux proches. Les dates populaires pour les baptêmes se situent autour de Pâques et de la Pentecôte. Mais ils peuvent avoir lieu tout au long de l’année.
Jolis textes courts extraits de la Bible pour un baptême religieux
1 « Quiconque accueille un enfant en mon nom, me souhaite la bienvenue. » – Luc 9: 46-48.
2 « Cette eau symbolise le baptême qui vous sauve maintenant aussi – non pas l’élimination de la saleté du corps, mais le gage d’une conscience claire envers Dieu. Il vous sauve par la résurrection de Jésus-Christ. » – 1 Pierre 3:21
3 « Le baptême de Jean, d’où venait-il ? du ciel, ou des hommes ? Mais ils raisonnèrent ainsi entre eux ; Si nous répondons : Du ciel, il nous dira : Pourquoi donc n’avez-vous pas cru en lui ? » – Matthieu 21:25
4 « Moi, je vous baptise d’eau, pour vous amener à la repentance ; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint Esprit et de feu. » – Matthieu 3:11
5 « Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit. » – Actes 2:38
6 « Lorsqu’elle eut été baptisée, avec sa famille, elle nous fit cette demande : Si vous me jugez fidèle au Seigneur, entrez dans ma maison et demeurez-y. Et elle nous pressa par ses instances. » – Actes 16:15
7 « Il nous a sauvés, non à cause des œuvres de justice que nous aurions faites, mais selon sa miséricorde, par le baptême de la régénération et le renouvellement du Saint Esprit. » – Tite 3:5
8 « Jean parut, baptisant dans le désert et prêchant le baptême de repentance, pour la rémission des péchés. Tout le pays de Judée et tous les habitants de Jérusalem se rendaient auprès de lui ; et, confessant leurs péchés, ils se faisaient baptiser par lui dans le fleuve du Jourdain. » – Marc 1:4-5
Jolis textes bibliques pour un baptême religieux
9 Lettre de saint Paul aux Romains (8, 28-32) « L’aîné d’une multitude de frères »
Frères, nous le savons, quand les hommes aiment Dieu, lui-même fait tout contribuer à leur bien, puisqu’ils sont appelés selon le dessein de son amour. Ceux qu’il connaissait par avance, il les a aussi destinés à être l’image de son fils, pour faire de ce Fils l’aîné d’une multitude de frères. Ceux qu’il destinait à cette ressemblance, il les a aussi appelés ; ceux qu’il a appelés, il en a fait des justes ; et ceux qu’il a justifiés, il leur a donné sa gloire. Il n’y a rien à dire de plus. Si Dieu est pour nous, Qui sera contre nous ? Il n’a pas refusé son propre Fils, il l’a livré pour nous tous : comment pourrait-il avec lui ne pas nous donner tout ?
10 Lettre de saint Paul Apôtre aux Galates (3, 26-28)
Frères, en Jésus-Christ, vous êtes tous fils de Dieu par la foi.
En effet, vous tous que le baptême a uni au Christ, vous avez revêtu le Christ ; il n’y a plus ni juif ni païen, il n’y a plus ni esclave ni homme libre, il n’y a plus l’homme et la femme, car tous, vous ne faites plus qu’un dans le Christ Jésus.
11 Lettre de saint Paul aux Ephésiens (4, 1-6)
Frères, je vous encourage à suivre fidèlement l’appel que vous avez reçu de Dieu : ayez beaucoup d’humilité, de douceur et de patience ; supportez-vous les uns les autres avec amour ; ayez à cœur de garder l’unité de l’Esprit, par le lien de la paix. Comme votre vocation vous a tous appelés à une seule espérance, de même, il n’y a qu’un seul Corps et qu’un seul Esprit. Il n’y a qu’un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême, un seul Dieu et Père de tous, qui règne au-dessus de tous, par tous.
12 Lettre de saint Paul Apôtre aux Romains (6, 3-5)
Frères, nous tous, qui avons été baptisés en Jésus-Christ, c’est dans sa mort que nous avons été baptisés.
Si, par le baptême dans sa mort, nous avons été mis au tombeau avec lui, c’est pour que nous menions une vie nouvelle, nous aussi, de même que le Christ, par toute-puissance du Père, est ressuscité d’entre les morts.
Car, si nous sommes déjà en communion avec lui par une mort qui ressemble à la sienne, nous le serons encore par une résurrection qui ressemblera à la sienne.
Jolis textes religieux pour un baptême
13 Psaume 8
Ô Seigneur, notre Dieu, qu’il est grand ton nom par toute la terre ! Jusqu’aux cieux, ta splendeur est chantée par la bouche des enfants, des tout-petits : rempart que tu opposes à l’adversaire, où l’ennemi se brise en sa révolte. A voir ton ciel, ouvrage de tes doigts, la lune et les étoiles que tu fixas, qu’est-ce que l’homme pour que tu penses à lui, le fils d’un homme, que tu en prennes souci ?
Tu l’as voulu un peu moindre qu’un dieu, le couronnant de gloire et d’honneur ; tu l’établis sur les œuvres de tes mains, tu mets toute chose à ses pieds : les troupeaux de bœufs et de brebis, et même les bêtes sauvages, les oiseaux du ciel et les poissons de la mer, tout ce qui va son chemin dans les eaux. O Seigneur, notre Dieu, qu’il est grand ton nom par toute la terre !
14 Je te confie cette nouvelle brebis
A toi Seigneur !
Je te confie cette nouvelle brebis ;
Qu’elle puisse connaître en toi l’Amour ;
Que le Saint Esprit l’accompagne tout au long de son chemin et l’aide à suivre tes Préceptes ;
Qu’elle n’ait pour guide que Toi ;
Que ce sacrement soit une lumière qui garde son esprit en éveil ;
Oh Seigneur ! Bénis ce moment ;
Merci d’accueillir dans ta maison comme un nouvel Enfant.
15 L’enfant te parlera de Dieu
L’enfant a le regard qui porte loin
Sa voix de vérité dit la vérité du monde
Ecoute cette voix
Elle dit que l’univers a un visage d’homme
Qu’il y a des étoiles dans les yeux
Et que les yeux sont une voie lactée
Elle dit que l’infini ressemble à l’homme
Et que l’homme est comme l’infini
Ecoute cette voix
Elle sait mieux que toi
Que le miracle ouvre la porte à la raison
Et qu’il n’est de valeur que celle du cœur
Ecoute cette voix
Qui pose les questions
Et connaît toutes les réponses
Apprends-lui simplement ce que tu sais
Si peu de choses
Un mot, un outil, un geste
Et l’enfant apprendra tout le reste
La bonté
La faiblesse
Et sans le nommer
Il te parlera de Dieu.
De jolis textes littéraires pour un baptême religieux
16 « Le baptême est le sacrement qui commence » de Charles PÉGUY
Tout ce qu’il y a de petit est tout ce qu’il y a de plus beau et de plus grand.
Tout ce qu’il y a de neuf est tout ce qu’il y a de plus beau et de plus grand.
Et le baptême est le sacrement des petits. Et le baptême est le sacrement le plus neuf. Et le baptême est le sacrement qui commence.
Tout ce qui commence a une vertu qui ne se retrouve jamais plus.
Une force, une nouveauté, une fraîcheur comme l’aube.
Une jeunesse, une ardeur. Un élan. Une naïveté.
Une naissance qui ne se trouve jamais plus.
Le premier jour est le plus beau jour.
Le premier jour est peut-être le seul beau jour.
Et le baptême est le sacrement du premier jour.
Et le baptême est tout ce qu’il y a de beau et de grand.
S’il n’y avait pas le sacrifice.
Et la consommation du corps de Notre-Seigneur.
17 « Avant même d’être né, j’étais déjà aimé » de Louis de la Bouillerie
Quand tes fils et tes filles diront « Mais cela est impossible, c’est au-dessus de nos forces. Nous avons été baptisés dans l’impossible. »
Tu pourras leur affirmer, en pénétrant de ton regard leur regard » Oui, cela était impossible. Mais en nous la grâce fut plus forte que nous. »
Alors, si tes fils et tes filles rencontrent un jour ta faiblesse, Ils ne te fuiront pas. Ils viendront t’écouter et te voir. Et chaque jour, chaque infime victoire les plongera dans l’admiration. Alors ils se diront « Quels pouvaient être ces hommes, quelles pouvaient être ces femmes, qui ne cessaient point d’être faibles mais que chaque matin recréait plus vivants que leur propre vie, plus forts que leurs propres forces ? »
Et s’ils disent, tes fils et tes filles. » Montre-nous cette alliance impossible de l’eau et du feu. Montre-nous ton Dieu impalpable ! » Et s’ils ne peuvent plus y croire tu pourras leur répondre en pénétrant de ton regard leur regard » Nous n’avons pas dit : Je crois, Mais : Nous croyons, Ni : J’aime, Mais : Nous aimons. Une source nous devançait. Elle fut en tous deux si pressante qu’en croyant l’un dans l’autre jusqu’à aimer, Nous avons aimé l’un par l’autre Jusqu’au seuil où l’on croit. »
Alors tes fils et tes filles connaîtront cette paix, cette joie d’un être qui peut se dire et se redire dans la vie Avant même d’être né, déjà j’étais aimé.
18 « Le Dieu de l’enfance » de Charles Bobin
Et l’enfant grandit. Il grandit comme grandissent les enfants : comme un arbre, plongeant les racines de ses bras dans la terre maternelle, puisant sa nourriture dans les sous-bois d’une parole, multipliant les attaches, élevant les branches de ses pensées dans la lumière du dehors. L’enfance est ce qui nourrit la vie. Qu’est-ce qui nourrit l’enfance ? Les parents et l’entourage, pour une part. Les lieux, la magie des lieux pour une autre part. Et Dieu pour le reste qui est presque tout.
Moins le Dieu de la Bible, un Dieu jardinier, bâtisseur, que le Dieu imprévoyant des pluies d’été et des premiers chagrins, le Dieu braconnier du temps qui passe. Un Dieu comme une mère un peu folle, un Dieu comme une mère qui donnerait dans le même geste une caresse et une gifle.
Ce Dieu-là est le premier rencontré dans la vie, avant l’autre, bien avant l’autre. C’est le même en plus vrai, en plus proche. On peut négocier avec le Dieu de la Bible.
On peut faire des affaires avec lui, engager des pourparlers, rompre et reprendre. On peut même lutter avec lui en pariant sur sa faiblesse. Mais avec le Dieu nourricier de l’enfance, on ne peut rien. Il est la part non-maitrisée de l’enfance, la part non décidée de l’éducation et c’est la part de l’infini.
Il n’y a pas à croire en lui. Croire c’est donner son cœur. Ce Dieu des heures simples a pris le cœur de l’enfant au berceau.
19 « Un sourire » de Gandhi
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup ; il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu’un instant mais son souvenir est parfois éternel. Personne n’est assez riche pour s’en passer, personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter. Il crée le bonheur au foyer, il est le signe sensible de l’amitié. Un sourire donne du repos à l’être fatigué, rend du courage au découragé. Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler car c’est une chose qui n’a de valeur qu’à partir du moment où il se donne. Et si quelquefois vous rencontrez une personne qui ne sait plus avoir le sourire, soyez généreux et donnez-lui le vôtre, car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
20 « Ademar » de Bonos (poète brésilien)
Comme je marchais sur la plage, au soir de ma vie avant de m’enfoncer dans l’océan de Dieu, je me suis retourné et j’ai vu sur le sable l’empreinte de mes pas. Chaque pas était un jour de ma vie et ils étaient tous là, aussi loin que pouvait monter mon regard. Je les ai tous comptés et je les ai tous reconnus, les jours de joie et les jours d’angoisse, les pas assurés et ceux qui trébuchaient. Du plus loin que j’ai vu, à côté de mes traces s’imprimait une trace jumelle et qui m’accompagnait jusqu’à mes derniers pas.
C’était les pas de Dieu qui marchait côte à côte comme il l’avait promis tout au long de ma vie. Comme un père accompagne son enfant, il avait marché à mon pas. Et comme je regardais ce long ruban de nos traces parallèles, il me sembla voir qu’à certains endroits il se rétrécissait et que seule une empreinte se lisait sur le sable. C’était l’empreinte des jours les plus noirs, ces jours de larmes, de souffrance et de deuil, lorsqu’on se sent très seul et abandonné.
« Seigneur, ai-je crié, où étais-tu lorsque j’ai tant pleuré ? Pourquoi ne marchais-tu plus à mes côtés ? » Et le Seigneur m’a répondu : « mon enfant bien-aimé, l’unique trace que tu vois est la mienne, car à ces moments-là, moi, je te portais dans mes bras. »
21 « Tu es irremplaçable » de Michel Quoist
Si la note disait : Ce n’est pas une note qui fait une musique… Il n’y aurait pas de symphonie.
Si le mot disait : Ce n’est pas un mot qui fait une page… Il n’y aurait pas de livre. Si la pierre disait : Ce n’est pas une pierre qui peut monter un mur… Il n’y aurait ni maison ni église ni cathédrale.
Si la goutte disait : Ce n’est pas une goutte d’eau qui peut faire une rivière… Il n’y aurait pas d’océan.
Si le grain de blé disait : Ce n’est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ… Il n’y aurait pas de moisson.
Si l’homme disait : Ce n’est pas un geste d’amour qui peut sauver l’humanité… Il n’y aurait jamais de justice et de paix, de dignité et de bonheur sur la terre des hommes.
Comme la symphonie a besoin de chaque note, comme le livre a besoin de chaque mot, comme l’océan a besoin de chaque goutte d’eau, comme le moissonneur a besoin de chaque grain de blé, l’humanité toute entière a besoin de toi, là où tu es.
Et on pourrait ajouter : là comme tu es, avec ta joie, ton espérance, ta souffrance, ta misère, ta vieillesse ; L’humanité toute entière a besoin de toi, car tu es unique. Aimé de Dieu et donc irremplaçable.
Des textes de prières pour un baptême religieux
22 Prière pour la Paix
Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix.
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant
A être consolé qu’à consoler,
A être compris qu’à comprendre,
A être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant que l’on reçoit,
C’est en oubliant qu’on se retrouve soi-même, c’est en pardonnant que l’on obtient le pardon, c’est en mourant que l’on ressuscite à la Vie.
Amen.
23 Prière pour mon enfant
Seigneur, je remets entre tes mains le nom de mon enfant.
Grave-le profondément en toi afin que rien ni personne ne puisse l’enlever.
Protège-le chaque fois que je suis contraint(e) de lâcher sa main.
Que ta force soit toujours plus grande que sa faiblesse.
Je ne te demande pas de lui épargner tout chagrin mais d’être sa consolation lorsqu’il sera seul ou dans la peur.
Garde mon enfant dans ton Alliance, en ton Nom.
Ne le laisse jamais s’éloigner de toi à aucun moment de sa vie.
Seigneur, je remets entre tes mains le nom de mon enfant.
Des poèmes pour un baptême religieux
24 « Vivre »
Une vie qui va,
Une vie qui vient.
Mystère de la vie !
Rien n’est à nous,
Tout est donné,
Merveille de Dieu !
Puiser à la source,
Boire à la source,
Vivre de Dieu !
Aimer simplement,
Aimer vraiment.
Liberté de Jésus-Christ !
Souffle de vie,
Germe d’Amour,
Esprit de Dieu !
Une vie s’en va,
Une vie qui vient…
Bienvenue, (le prénom du baptisé),
Dans la grande famille des chrétiens !
25 « Sois béni »
Sois béni (le prénom du baptisé),
Avant c’était la nuit,
Mais regarde aujourd’hui,
Si tes amis sourient
C’est que Dieu t’a choisi.
Le signe de la croix
Qu’on tracera sur toi
Sera comme une étoile
Et guidera tes pas
Et ces bougies lumières ?
Elles sont une prière
Qui monte de la terre
Vers Dieu notre Père lui dire que nous sommes frères
Cette eau d’éternité source de pureté fait que tout a changé
Car tu es baptisé
Enfant illuminé
L’esprit qui souffle en toi
T’apporte cette même foi
Qui nous donne la joie.
Nous unissons nos voix de baptisés pour toi
Sois béni
Car Dieu est ton ami.