Elle a tellement roulé, flotté, ricoché avant d’atterrir dans ses mains, dans ses bras.
Elle a tellement été impatiente, exigeante, avant d’apprendre à la fermer.
Elle a tellement galéré avant de le rencontrer. Elle a tellement désiré qu’elle en oubliait de déguster.
Un jour sans le chercher, elle s’est retrouvée.
Elle a tellement vécu pour vivre avant de réellement se sentir exister.
Tout d’un coup ses prises de tête se sont évaporées. Elle n’avait plus à forcer.
Un jour ils se sont séparés. Mais cette fois-ci elle ne s’est pas égarée. Car elle connaissait la routine des femmes solitaires.