Lettre d’amour triste qui fait pleurer : « Jamais j’aurais pensé qu’on en arrive là »

Dites-le avec une lettre

Il y a des choses qu'on aimerait pouvoir écrire... Mais on ne sait pas toujours par où commencer, comment trouver les bons mots, véhiculer la bonne intention. Aujourd'hui, on vous aide à vous lancer et envoyer la lettre parfaite:

Parce qu’il peut arriver de se réveiller un matin et de ne plus reconnaître l’autre, de voir qu’on a pris des chemins différents et que ça nous déchire le coeur… Voici une lettre d’amour triste qui fait pleurer ou du moins, qui vous touchera si vous vous reconnaissez !

Lettre triste : comment as-t-on pu en arriver là ?

Putain je te jure, jamais j’aurais pensé qu’on en arrive là. Jamais j’aurais juste pu l’imaginer, l’envisager, y penser une seconde. Comment est-ce possible ? Comment les images de moi qui t’aime, de toi qui m’aimes, peuvent-elles se mélanger à l’horreur qui nous déchire aujourd’hui ?

Que s’est-il passé ? A quel moment on a merdé ? Je n’ai rien vu venir. Je me suis couchée dans des pétales de rose et je me réveille dans un brouillard anxiogène. Dans tes yeux, seule la haine réside en ce jour quand dans les miens la lassitude et la tristesse dégoulinent.

Qu’est-ce qu’on a fait ? Qu’est-on devenus ? Pourquoi on a tout laissé croupir ? Pourquoi on n’a pas pansé les plaies plus tôt ? Pourquoi on a plongé aussi bas ? Comment on a pu s’aimer si fort ? Il est parti où ce putain d’amour ? Elle s’est évaporée quand cette flamme qui nous réchauffait le cœur ? Comment est-il possible qu’un matin on se réveille étrangers quand hier nous formions l’androgyne recomposé ?

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J’ai mal. Et je sais que t’as mal aussi. Parce que sous tes airs de je-ne-veux-pas-voir, tu vois. Ton cœur te le souffle. T’as mal dans le sens « fait chier ». J’ai mal dans le sens « j’ai peur ». Mais on a mal à deux et c’est peut-être ce qui nous lie le plus aujourd’hui.

Je m’étais juré de ne jamais devenir tout ce que je suis à ce jour. Je ne sais pas à qui est ce reflet dans ce miroir. J’ai loupé une case, une étape, j’ai enjambé trop vite, j’sais pas.

Alors je crie. Dans l’espoir que ça fasse du bien, que ça déclenche quelque chose, peut-être une guerre avant une paix prospère. Mais ça ne fait qu’empirer. Alors j’écris pour comprendre, quand est-ce que ça a commencé.

Cette lettre existe aussi en anglais : Sad love letter that makes you cry

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15 réflexions au sujet de “Lettre d’amour triste qui fait pleurer : « Jamais j’aurais pensé qu’on en arrive là »”

  1. Bonjour, j’ai vraiment apprécié votre texte je me suis permise de faire une suite si vous voulez la lire la voici: 🙂

    Parce qu’il peut arriver de se réveiller un matin et de ne plus reconnaître l’autre, de voir qu’on a pris des chemins différents et que ça nous déchire le coeur…

    Putain je te jure, jamais j’aurais pensé qu’on en arrive là. Jamais j’aurais juste pu l’imaginer, l’envisager, y penser une seconde. Comment est-ce possible ? Comment les images de moi qui t’aime, de toi qui m’aimes, peuvent-elles se mélanger à l’horreur qui nous déchire aujourd’hui ? Que s’est-il passé ? A quel moment on a merdé ? Je n’ai rien vu venir. Je me suis couchée dans des pétales de rose et je me réveille dans un brouillard anxiogène. Dans tes yeux, seule la haine réside en ce jour quand dans les miens la lassitude et la tristesse dégoulinent. Qu’est-ce qu’on a fait ? Qu’est-on devenus ? Pourquoi on a tout laissé croupir ? Pourquoi on n’a pas pansé les plaies plus tôt ? Pourquoi on a plongé aussi bas ? Comment on a pu s’aimer si fort ? Il est parti où ce putain d’amour ? Elle s’est évaporée quand cette flamme qui nous réchauffait le cœur ? Comment est-il possible qu’un matin on se réveille étrangers quand hier nous formions l’androgyne recomposé ?

    J’ai mal. Et je sais que t’as mal aussi. Parce que sous tes airs de je-ne-veux-pas-voir, tu vois. Ton cœur te le souffle. T’as mal dans le sens « fait chier ». J’ai mal dans le sens « j’ai peur ». Mais on a mal à deux et c’est peut-être ce qui nous lie le plus aujourd’hui.

    Je m’étais juré de ne jamais devenir tout ce que je suis à ce jour. Je ne sais pas à qui est ce reflet dans ce miroir. J’ai loupé une case, une étape, j’ai enjambé trop vite, je ne sais pas. Alors je crie. Dans l’espoir que ça fasse du bien, que ça déclenche quelque chose, peut-être une guerre avant une paix prospère. Mais ça ne fait qu’empirer. Alors j’écris pour comprendre, quand est-ce que ça a commencé.

    Et oui, je me retrouve là à écrire notre histoire au passé car elle n’a aujourd’hui plus d’avenir. Nous sommes tombés bien trop bas pour pouvoir nous relever correctement. Nous ne pouvons pas continuer. Notre relation a bien trop de séquelles, on finirait par se tuer. Et moi, je ne souhaite pas mourir à tes côtés, j’en suis navrée. Je ne pense pas que cela te blesse mais au cas où, je m’en excuse. Je ne suis pas mauvaise et je sais que tu ne l’es pas non plus. Alors, pourquoi on continu de se battre l’un contre l’autre ? On s’est aimé, un amour fou, un amour incontrôlable. Et là, maintenant j’en ai même des regrets. Je regrette de t’avoir aimé autant. Je regrette d’avoir été aussi naïve. J’ai pensé que nous deux ça allait durer. J’ai imaginé tellement de choses que l’on pourrait faire ensemble, tellement de choses qu’on aurait eu le temps de faire rien que toi et moi, personne sur notre chemin.

    J’étais prête à prendre les armes pour toi. J’étais prête à renier ma famille rien que pour tes beaux yeux. J’étais prête à tout faire pour toi, tu n’avais qu’à demander tout simplement. Mais tu ne l’as pas fait et maintenant regarde où on en est, à deux doigts de se briser éternellement. Tu pouvais t’enfuir sans jamais revenir et pourtant tous les soirs tu étais là. Alors, j’ai pris les devants sans même prévenir. Il étant tant d’arrêter ce carnage tu ne crois pas ? Maintenant, laisse moi m’en aller, arrête de t’agripper à mon dos. Ce soir, je ne suis plus à toi. Alors, dépose tes armes. Il ne nous reste plus beaucoup de temps dans le sablier.

    Si j’étais une larme je naîtrais de tes yeux pour couler sur tes joues et mourir sur tes lèvres. Ma place était au près de toi.

    Je t’aimerais toujours malgré tout ce qui s’est passé.

    20h47, heure du décès…

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    • Maëva, si belle et du triste ton histoire d’amour, apparemment les amours se semblent et se ressemblent, si beaux sont les débuts et si tristes son les fins. Comme vous j’ai traversé et vécu une formidable histoire d’amour, je traversais la Méditerranée et les Alpes pour rejoindre ma bien aimée, j’ avais hâte de finir mes quatre semaines de travail et passer mes quatre semaines de congé avec ma chérie qui devient ma femme ensuite. Si drôle est la vie parfois et même modiste des fois. Si triste était la fin, j’ai perdu ma joie et ma foie à la fois, le chagrin d’amour se voit sur voix. C’est en se moment là j’ai compris que c’était la fin, mon ne lui restait plus rien, mon corps est fondu comme une bougie du moyen-âge, j’avais la rage mais j’étais sage, j’ai pleuré comme un nuage dans un terrain sauvage qui a fait un naufrage, c’était l’orage qui a fallut faire un ravage. Le nuage passe, et je devrais faire fasse que passe, j’ai cru à un amour que j’ai cru enfin trouver, finalement c’était du gaspillage, je n’étais pas sage et c’est dommage. Si naïf j’étais, si gentil j’étais, si sérieux j’étais c’est dommage !

      Merci pour ces jolies écritures, apparemment on a tous des points en commun nous les amoureux déçus. On s’isole et on s’exprime en écrivant. Nous sommes sentimentales.

      Un grand bisous vous tous. Je vous aime

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    • La suite me plaît énormément. Autant que le début de l’histoire d’ailleurs. Si seulement ils pouvaient tous déposer les armes quand l’histoire vient à se finir… ça aurait juste été la meilleure des choses à faire pour tout le monde.
      Bonne soirée à tous et encore merci pour cette lettre magnifique

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  2. Bonjour à toutes et à tous, je trouve les commentaires un peu gris parce-que vous avez toutes et tous vécu des moment merveilleux comme moi. Se qui me différencie de vous c’est qu’elle est ( ) un peu Narcissique, elle prend quasiment toute les choses au 1er degré, elle s’énerve pour pas grand chose, elle est jalouse et si je ne lui écrivais pas tout de suite après son message ou quand elle m’appelait, sachant qu’elle le faisait 5 / 6 ou 7 fois de sont travail voir même plus souvent elle posait son tel pour s’occupé de ses clientes étant donné qu’elle est coiffeuse, à chaque fois elle me disait d’accord j’ai compris tu ne veux pas me parler surtout que tu ne fait rien de la journée. oui je ne travail plus parce-que je suis en invalidité et sa ne me plait pas plus que sa, mais à chaque fois elle me disait je m’en fou c’est moi que l’on parle et pour tout elle s’en fou, c’est elle et rien qu’elle et boom, elle faisait la tête pendant une journée ou 2 , voir me dire c’est finie entre nous et bien sûr elle revenait en me demandant pardon. je t’aime mon chéri je ne veux pas te perdre et bien sûr je l’a pardonnais comme un imbécile que je suis. Bien sûr se genre de cinema, elle me l’a fait 5-6 ou 7 fois voir même plus en 3 mois. En même tant, c’est vrai que j’aurai pu l’appeler plus souvent à son travail parce-que quasiment à chaque fois c’est elle qui le faisait. Le problème c’est que je ne voulais pas la déranger en plein travail, en plus, je l’avais déjà fait, soit elle refusait l’appel, soit elle ne répondait pas ou encore j’avais un message comme quoi mon appel ne pouvait pas aboutir. Le problème, c’est qu’elle ne me croyait pas ( donc elle me prenait pour un menteur et elle ne me faisait pas confiance enfin c’est se que je pense ).

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