Je rêve à notre amour. Un amour de vieux film italien, un amour de film en noir blanc je rêve à notre amour et j’entends Billie Holiday, je rêve à notre amour et des vers de Baudelaire me reviennent… Sed non satiata sans les derniers tercets… Quel sacrilège tu me fais faire, retrancher des vers de Baudelaire…
Je sais que tu approches, je te sens approcher. C’est comme si tu vibrais, comme si j’irradiais.
Je me rappelle tes doigts qui sous mon souffle m’ont donné le signal… Comme les vagues d’une mer furieuse contre une falaise, nos désirs se heurtent, tu plantes ton regard dans le mien, tu me touches sans me toucher, instant d’éternité, promesse d’une nuit sans fin…
« Quelle lenteur, tout à coup. Quelle douceur« …
Tes baisers me font les jambes trembler, ton regard se pose sur moi et me fait chanceler… Déjà je suffoque de ce plaisir si proche, cette extase certaine… La nuit sera longue, la vie sera belle, cueillons-les mon étoile, dans les vagues de notre lit perdons-nous, je t’invite au voyage…
« Comment me serais-je doutée que tu étais fait à la taille de mon corps.. »
Inondée d’amour, béate, et bienheureuse au creux de tes bras, la main sur ton torse je m’endors au rythme de ton souffle tranquille, à la chamade de ton cœur. Je me rappelle les aubes où les douces chaleurs du soleil, de ton étreinte, de tes caresses me tirent du sommeil…
Tes mains, tes lèvres, ta force, tout ce qui fait de toi un homme et me fait me sentir enfin femme…
« Une nuit sans fin » Cindy
Première réaction d'un lecteur
Cet article est récent et vous êtes sans doute un des tous premiers lecteurs à le dénicher... Soyez le premier à laisser un commentaire, partager un avis, une idée... pour lancer la discussion :).
Voir les commentairesVous aimez lire sur l'amour ?
Recevez 1 e-mail par mois contenant les nouveaux articles les plus appréciés par la communauté Parler d'Amour